Santiago, c’est plutôt une ville nouvelle sans bâtiment historique et qui a un gros défaut tout comme Grenoble, c’est d’être coincé au milieu des montagnes.

 J’arpente les rues en suivant le résonnement habituel des villes d’Amériques du sud, trouver les rues 18 de juno et 25 de Mayo qui sont en général, les 2 artères principales. Comme à Buenos Aires, une grande rue piétonne et commerçante, une place avec les principaux bâtiments publics et différents marchés disséminés dans la ville. Très honnêtement, rien de très mémorable.

 Un petit tour au marché pour aller manger, la grosse spécialité c’est les empanadasses, sorte de chausson fourré au fromage ou à la viande. Et ça on en trouve un peu partout dans la rue comme les hots dogs ou les sandwiches à l’avocat et au jambon. C’est l’occasion aussi pour moi d’acheter quelques légumes au marché, surtout que ceux-ci sont vraiment pas cher, par exemple, j’ai acheté un kilo de cassis et de framboises pour un euro, 4 avocats, 1€ pareil.

 L’autre visite que tout le monde fait, c’est de grimper en haut de la colline colonial, soit à pied, soit par un funiculaire, soit par un télécabine pour avoir une vue d’ensemble de la ville. C’est surtout l’occasion de voir que la ville est très polluée et qu’il reste difficile de voir les montagnes aux alentours.

 Le quartier au pied de cette colline est plutôt underground, c’est un mélange de graffitis, de local associatif et de bar, ça donne vraiment envie d’y passer la soirée !

 Le lendemain, j’avais prévu de bouger un peu de Santiago mais l’arrivée de nouvelles personnes à l’auberge a fait que j’y ai passé ma journée à profiter de la terrasse en buvant des bières pour préparer la saint patrick, une bonne journée !