Quand ton avion arrive à 22h, c’est toujours un peu la galére car la plupart des transports en commun de marchent plus et souvent dans ce type de pays, pas facile de discerner les bons taxis des mauvais. Pour ça l’aéroport de Santiago n’est pas le meilleure, agression des taxis dés lors que tu passes la sortie et surtout aucune indication sur des possibles transports en commun comme on peut en trouver en Europe ! D’autant plus que je touche mes limites avec mes 50 mots d’espagnols…Finalement ce qui va me sauver, c’est d’avoir pris un hostel un peu central, j’ai vu une espèce d’arrêt des bus un peu plus loin et lorsque j’ai annoncé la station de métro où j’allais le gars m’a montré un autre bus. A 23h, c’est cool de trouver un bus, je sens que le taxi allait couter bonbon !

 Un autre avantage et franchement ça m’a dépanné dans beaucoup beaucoup de situation, c’est le GPS hors ligne. Partout où on est dans le monde, on peut savoir vraiment où on est ! Par exemple, j’ai bien trouvé le bus mais si je n’avais pas eu de GPS, je n’aurai pas forcement sur où m’arrêter ni comment trouver l’auberge !

 Le chili est un pays qui a vraiment l’air très bien pour les treks mais comme mon emploi du temps ne me permet pas de rester plus d’une semaine, je ne verrais pas grand-chose de tout ça ! Mine de rien la semaine au camping plus les randonnées, ça crève pas mal !

 Mon premier objectif, c’est aussi de racheter un bermuda, en fait entre le soleil, la saleté et les conditions, les vêtements s’usent 2 fois plus vite que la normale, c’est un peu hallucinant ! Et bien cette petite mission va quand même me prendre presque une journée, normal il fait 28°C mais comme c’est le début de l’hiver, plus personne n’en propose !

  
Je termine tranquillement la journée par le match de Monaco à l’auberge, c’est l’avantage au Chili, si tu prends l’abonnement normal, t’as accès à toutes les chaines que tu veux et dans toutes les auberges, il y a une télé câblée ! Ce match, c’est aussi un peu le début de rencontres avec pas mal de gens avec qui je vais rester par la suite.