Arrivé à la gare de Moscou vers 9H du matin, pas de doute, on retrouve les habitudes de la très grande ville, beaucoup de monde, ça pousse, ça grogne, le grand classique qu’on oublie vite pourtant !
 Direction l’auberge de jeunesse. Il faut savoir une chose, en Russie, la plupart sont situés dans des appartements à l’intérieur d’un immeuble d’habitation classique. Pour trouver l’immeuble, ça va, mais pour trouver à quelle porte ou à quelle interphone, on doit sonner ça peut être l’enfer. Pour information, il arrive souvent que la personne à l’accueil ne parle que le russe, autant dire, ça sert à rien d’appeler. Bilan pour celle-là, une demi-heure pour trouver l’entrée, c’est dans la moyenne basse…
 Direction la place rouge (et pas rouge pour faire un clin d’œil à la fête de l’humanité mais bien parce que le mot rouge et beau se traduise de la même façon en russe!). C’est toujours un grand moment de découvrir un monument connu de par le monde entier, il ressemble jamais vraiment à l’image qu’on sent fait. Et c’est vraiment plutôt sympa à visiter tout comme le Kremlin jute à côté. Le Kremlin d’ailleurs, c’est le mix entre le régime militaire (t’as un mec qui passe son temps pour dire aux gens de suivre une ligne blanche) avec différentes armes exposées et à côté de ça tous les monuments religieux. La grosse différence avec les églises européennes, l’intégralité des murs intérieurs sont peints, c’est plutôt assez joli d’ailleurs et c’est interdit de le photographier !
 Le lendemain, ça sera visite des différentes rues piétonnières et du parc central Gorky. Je me suis basé pour faire mon parcours sur les stations de métro mais pour une distance entre 2 stations à Moscou, il faut plutôt en compter 3 sur paris. Je me suis un peu emballé, Moscou reste très grand et la marche n’est pas forcément adaptée pour visiter cette ville.